Avant la création du lac de Vassivière, la zone est une vallée rurale traversée par la rivière Maulde, avec des terres agricoles, des fermes, des moulins et plusieurs petits villages ou hameaux, dont celui de Vassivière, qui a donné son nom au lac Lorsque le projet de barrage hydroélectrique est lancé après la Seconde Guerre mondiale, l’objectif est de répondre à la croissance des besoins en énergie de la France, notamment pendant les Trente Glorieuses.. Pour constituer le réservoir du lac (rempli de 1950 à 1951), la vallée a été inondée, engloutissant huit lieux dits comme le Moulin de Vassivière, des fermes, des ponts, des routes et d’autres encore. Des habitants ont dû quitter leurs maisons et terres. Il n’y avait pas d’église engloutie, contrairement à certaines légendes, mais au moins un cimetière rural a disparu sous l’eau. Lorsque le projet de barrage hydroélectrique est lancé après la Seconde Guerre mondiale, l’objectif est de répondre à la croissance des besoins en énergie de la France, notamment pendant les Trente Glorieuses.. On le cherche, on le devine, on l’aperçoit … Il est là, dans un écrin de verdure sauvage ! Soudain, sur la montagne Limousine, au pays des milles sources, aujourd’hui Parc Naturel Régional de Millevaches, le Lac de Vassivière se dessine. Un air de « petit canada » s’en dégage… le dépaysement est garanti ! il est un des plus grands lacs artificiels de France Et si vous preniez le large en canoë sur la presqu’ île de Broussac pour découvrir le paysage et les alentours…pour une balade gustative au fil de l’eau en bateau, la meilleure façon de découvrir le lac et son histoire ! Ne soyez pas effrayés de contourner l’île aux serpents, il n’y a plus rien à craindre de cet îlot ou presque. En famille profitez d’une balade tranquille en...
mystère
Dans le triangle de la Burle, on est à la croisée de l’Ardèche, de la Loire et de la Haute-Loire, à l’est du Massif central, entre le Mont Mézenc et le Massif du Pilat. Vous connaissez certainement le triangle des Bermudes ? Eh bien ici triste record des catastrophes aériennes en France. Depuis les années 1940, près de 80 accidents dont de nombreux mortels,ont eu lieu dans cette région…et inexpliqués.hénomènes incroyables concentrés sur ce secteur. On l’appelle le « Bermudes en Cévennes » : l’expression est popularisée par le journaliste Jean Peyrard, au milieu des années 1980, bon nombre de catastrophes aériennes ont eu lieu depuis près d’un siècle, endroit redouté par les aviateurs, notamment en hiver. Peut-être un vent indomptable, un vent incontrôlable qui a fait se perdre plus d’un aéronef dans les Cévennes ! Véritable tombeau à ciel ouvert, rempli d’avions venus s’écraser sur les monts de l’Ardèche et de la Haute-Loire https://fr.wikipedia.org/wiki/Triangle_de_la_Burle Tout commence en 1930 Mais c’est durant la Seconde Guerre mondiale que se créé la légende du Triangle de la Burle ; plusieurs avions connaissent des avaries en survolant la zone, et les accidents se multiplient. En cause, bien souvent : la météo. Témoins, articles de presse, observations d’ovni, voire la radioactivité propre à ce “Triangle des Cévennes”, pourquoi ? Une radioactivité naturelle des mines d’uranium en Haute-Loire, on a extrait de l’uranium à Bellevue-la-Montagne, en Lozère, Loire, le gaz radon très répandu, jusqu’aux centrales nucléaires. Il ne faut pas oublier que notre triangle est merveilleux, des paysages à couper le souffle. Des promenades dans des sites parsemés de mégalithes. On se balade ainsi au Tchier de Borée, à l’abbaye de Mazan, au lac d’Issarlès en Ardèche, sur le Palet de Gargantua, le rocher d’Aiguilhe en Haute-Loire, sur des lieux mystiques à Sainte-Croix-en-Jarez dans la Loire Qu’est-ce que la Burle ?...
Découvrez les pépites secrètes de Paris : lieux cachés, insolites et méconnus à absolument découvrir
Découvrez les pépites secrètes de Paris : lieux cachés, insolites et méconnus à absolument découvrir
Paris est un lieu fascinant où chaque ruelle peut cacher une histoire, un décor inattendu, ou un endroit à couper le souffle. Si vous pensez avoir fait le tour de Paris, détrompez-vous ! Loin des sentiers battus, la capitale française regorge de lieux secrets, de coins de verdure insoupçonnés et de curiosités qui échappent même aux Parisiens. Dans cet article, partez à la découverte des endroits les plus insolites, des lieux méconnus, et des pépites secrètes de Paris qui méritent absolument d’être découverts. Voici un guide pour explorer les trésors les plus cachés de la ville lumière. Coulée Verte et Petite Ceinture : des chemins bucoliques hors du temps Parmi les endroits secrets les plus séduisants de Paris, la Coulée Verte René-Dumont (ou promenade plantée) est une pépite à découvrir absolument. Cet ancien viaduc ferroviaire transformé en coin de verdure suspendu traverse le 12e arrondissement et offre une balade hors du temps, bordée d’arbres, de plantes grimpantes et de bancs où flâner. C’est un véritable havre de paix pour qui souhaite découvrir la capitale autrement, loin de l’agitation touristique. Un peu plus sauvage, la Petite Ceinture est une ancienne voie ferrée qui fait le tour de Paris en suivant un tracé oublié sous les immeubles. À certains endroits comme dans le 15e, 16e ou 18e arrondissement de Paris, elle a été réhabilitée en promenade urbaine. Paris cache ici une expérience insolite, où la nature reprend ses droits, entourée d’infrastructures ferroviaires chargées d’histoire. La Petite Ceinture est sans doute un des secrets les mieux gardés de la ville, une véritable découverte insolite à faire. Cité Florale et Square des Peupliers : les villages secrets du 13e arrondissement Envie de découvrir un lieu insolite en plein Paris ? Direction le 13e arrondissement, plus précisément vers la Cité Florale. Ce quartier résidentiel est composé de petites maisons colorées, bordées de jardins fleuris, qui rappellent davantage un village de province qu’un quartier parisien. On est ici dans un décor bucolique, inattendu au cœur de la ville. Chaque rue...
Des scientifiques de la NASA et d’autres observatoires étudient intensivement le mystérieux objet interstellaire 3I/ATLAS à l’aide de télescopes spatiaux avancés, alors que de nouvelles données révèlent des compositions chimiques surprenantes qui remettent en question les hypothèses précédentes sur ce visiteur cosmique venu d’au-delà de notre système solaire. L’objet, découvert le 1er juillet 2025 par le télescope de surveillance ATLAS de la NASA au Chili, représente seulement le troisième objet interstellaire confirmé à traverser notre système solaire, après 1I/’Oumuamua en 2017 et 2I/Borisov en 2019. De récentes observations réalisées par le télescope spatial James Webb et la toute nouvelle mission SPHEREx de la NASA ont fourni des détails sans précédent sur sa composition, révélant de fortes concentrations de dioxyde de carbone et des signatures minimales de glace d’eau. Webb et SPHEREx révèlent une chimie inhabituelle Le télescope spatial James Webb a observé 3I/ATLAS le 6 août 2025 à l’aide de son instrument spectrographe proche infrarouge, détectant de la glace d’eau, du monoxyde de carbone et des niveaux exceptionnellement élevés de dioxyde de carbone dans la composition de la comète. Selon la NASA, ces observations montrent que la chevelure et la poussière sont générées par des processus naturels de dégazage plutôt que par des sources artificielles. Les données SPHEREx, recueillies entre le 7 et le 15 août 2025, ont révélé un immense nuage de dioxyde de carbone s’étendant sur au moins 348 000 kilomètres autour de l’objet, la comète perdant environ 70 kilogrammes de CO2 par seconde tout en ne présentant presque aucune perte d’eau. Cette signature chimique inhabituelle diffère considérablement de celle des comètes typiques de notre système solaire.« L’interprétation la plus simple est que le noyau de 3I/ATLAS produit la majeure partie de la lumière », a écrit l’astrophysicien de Harvard Avi Loeb dans un billet de blog analysant les données. Le spectre...
Si l’exploration des lieux abandonnés vous intrigue, Urbexeur.fr est la porte d’entrée idéale pour plonger dans cet univers fascinant. Ici, on ne parle pas de simples visites touristiques, mais d’expériences uniques où chaque pas réveille un fragment d’histoire. Une première impression qui marque En arrivant, l’endroit semble presque endormi. Les murs sont couverts de lichens et de fissures, les vitres ont cédé leur place à des courants d’air, et la végétation grignote patiemment ce qui reste des façades. On devine qu’autrefois, le lieu devait être animé, bruyant, plein de vie. Aujourd’hui, il est devenu un décor figé, où chaque détail raconte un morceau de passé. En fermant les yeux, on pourrait presque entendre les voix d’antan, le cliquetis des machines ou le claquement de pas dans les couloirs. L’urbex, c’est ça : un mélange d’archéologie moderne et de poésie visuelle. Ce que l’on y trouve vraiment Oubliez les clichés retouchés à outrance : la réalité, c’est un savant mélange de beauté et de décrépitude. Des pièces baignées par la lumière filtrant à travers un toit effondré. Des graffitis qui oscillent entre art et mystère. Des objets oubliés, couverts de poussière, qui semblent figés dans le temps. Chaque exploration réserve son lot de surprises : un escalier suspendu dans le vide, une porte qui ne mène nulle part, ou encore un meuble qui résiste vaillamment à l’assaut des années. Le charme discret du danger L’urbex n’est pas une promenade dans un parc. Les planchers peuvent craquer, les murs sont parfois instables, et il n’est pas rare de croiser un pigeon qui vous regarde comme si vous étiez chez lui. Mais c’est justement ce mélange de prudence et d’adrénaline qui rend chaque visite mémorable. On ne vient pas pour “cocher un spot” sur une liste, mais pour vivre un moment brut, presque intime avec le lieu. Quand la...
L’affaire Glozel a engendré un lot de découvertes, de réflexions, de débats contradictoires pour reconnaître le gisement archéologique à tel point que ce nom est devenu un mythe pour certains et une réalité incontestable pour d’autres. Il y a eu les pour glozel et les contre glozel. L’histoire s’étire du début des années 20 à aujourd’hui. Mythe ou réalité, Glozel ne laisse pas indifférent et a toute sa place dans l’histoire. Cette affaire de faux archéologique probable secoue La France des années 1920 et va resurgir périodiquement. Le 1er mars 1924, émile Fradin laboure un champ, non loin de Châtel-Montagne, près de Ferrières-sur-Sichon, il a 17 ans et habite le village de Glozel ; c’est à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Vichy, situé dans les Montagnes du Bourbonnais chargées de légendes et haut lieu de l’histoire, Glozel est peut-être la clef qui ouvre la porte du mystère des origines de notre civilisation et du courant migratoire des hommes. Donc, ce 1er mars 1924, Emile Fradin laboure avec son grand-père, Claude Fradin , un champ dit ‘Duranthon’ parcelle plus ou moins incultivée. et tout à coup, une des deux vaches tirant la charrue trébuche et s’enfonce en partie dans la terre. En tentant de la dégager, ils découvrent une cavité, dans laquelle ils distinguent un squelette et des poteries. Le lendemain, Emile Fradin revient examiner les lieux et dégage la cavité qui se révèle être une fosse d’environ trois mètres sur un mètre dont les parois sont de briques emboîtées les unes dans les autres, le sol est constitué de seize dalles d’argile, quelques vases, des débris divers et une plaque d’argile portant des signes curieux. Émile Fradin s’intéresse à cette découverte et poursuit ses fouilles avec l’aide du docteur Morlet. qui publie ses trouvailles à partir de 1925, tandis que la famille Fradin aménage dans...
Nombreux sont ceux qui ont entendu parler du "carré magique" qui se lit de la même façon dans tous les sens. Les lettres sont alignées et disposées en échiquier
Le Monastère du Carol ou « Là où Dieu a son église, le diable a sa chapelle. »
Le territoire du Gévaudan constitue la Lozère d’aujourd’hui. Malgré les siècles qui se sont écoulés, la Bête du Gévaudan reste un mystère qui fascine toujours les gens
