La Chapelle Saint Louis Guémy est sur le mont Saint Louis, dernier contrefort de l’Artois, un panorama magnifique ! Sur ce mont crayeux qui culmine à 112 m d’altitude on trouve les ruines de la chapelle Saint Louis. C’est étrange, toute seule, perdue au milieu de nulle part C’est un lieu historique : les pèlerins passaient tout près de là, sur La via Francigena, c’est un chemin de pèlerinage reliant Canterbury en Angleterre, à Rome, en passant par la france, 3.000 kilomètres Sous Jules César, en 50 avant JC est le début du réseau routier de l’europe occidentale La Via Francigena naît en 990 lorsque l’archevêque Sigéric de Cantorbéry part en pèlerinage vers Rome pour recevoir le pallium des mains du pape Jean XV ; c’est le transit des marchands, des soldats et des pélerins, en 1300, à son apogée. On l’emprunte aujourd’hui sous la forme matérialisée par le GR145 Au départ de Calais, la Via Francigena parcourt la région des Hauts-de-France en traversant les départements du Pas-de-Calais et Aisne. L’itinéraire sillonne les paysages agricoles du nord de la France avec quelques villes riches en patrimoine : Arras et son beffroi, Laon et sa ville fortifiée… La chapelle Saint Louis est édifiée à la fin du XVème siècle. Mais on pense qu’elle a été reconstruite en lieu et place d’une chapelle plus ancienne. Elle a été partiellement détruite pendant les guerres franco-espagnoles du XVIème siècle. La chapelle a été restaurée en 1930. Terres de légendes, des druides gaulois y auraient pratiqué leur culte, ou l’empereur romain Septime-Sévère y aurait campé. Certains prétendent que de la chapelle, on peut gagner par souterrains, Ardres, Tournehem, voire Calais et Saint Omer. Les souterrains existent, mais ce ne sont aujourd’hui que des carrières d’extraction de craie, Les légendes sont tenaces, et souvent racontent la vérité ! L’ancienne chapelle d’avant...
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Les Gorges de la Loire, creusées par le plus long fleuve de France, la Loire, représentent un trésor naturel d’une richesse exceptionnelle. Nichées dans le Massif Central, ces gorges offrent un panorama unique où la géologie, l’histoire et la biodiversité se rencontrent. Dans cet article, nous plongerons au cœur de ces paysages impressionnants, en découvrant leur formation géologique, leur biodiversité remarquable, leur importance historique et culturelle ainsi que les activités touristiques qui permettent d’apprécier pleinement ce site d’exception. La formation géologique et géographique des Gorges de la Loire Les Gorges de la Loire se situent au cœur du Massif Central, une région montagneuse ancienne dont la complexité géologique est à l’origine du paysage spectaculaire que nous observons aujourd’hui. Le fleuve Loire, plus long fleuve de France, prend sa source dans le Mont Gerbier de Jonc, à une altitude d’environ 1 400 mètres. Cette origine élevée joue un rôle fondamental dans le pouvoir érosif du fleuve, qui, au fil des millénaires, a sculpté les profondes gorges que nous connaissons. La formation des Gorges de la Loire résulte d’une combinaison d’érosion fluviale intense et de phénomènes tectoniques associés au soulèvement progressif du Massif Central. En effet, le fleuve a progressivement creusé son lit dans des terrains très contrastés, composés essentiellement de granites, de gneiss et de schistes, ces roches métamorphiques et magmatiques conférant à la vallée une grande résistance mais également des zones de faille favorables à l’érosion. L’évolution de la topographie est donc marquée par un relief accidenté, où les falaises abruptes et les pics granitiques alternent avec les fonds plus encaissés de la rivière. Ces reliefs résultent d’une remontée progressive du plateau du Massif Central, provoquant une réactivation des réseaux hydrographiques et une incision ravageuse des cours d’eau. Le processus d’incision fluviale a permis au fleuve de s’enfoncer profondément dans la croûte terrestre, creusant des...
La Fabuloserie en danger : elle a été créée en 1983 par Alain Bourbonnais, architecte et collectionneur passionné. Elle est installée dans une ancienne fabrique à Dicy, dans l’Yonne, et rassemble plus de 8 000 œuvres d’art brut, d’art singulier et d’art hors-les-normes. La collection met en lumière des artistes autodidactes, souvent marginalisés, dont les créations échappent aux codes traditionnels de l’art contemporain. À la fois musée, jardin d’œuvres monumentales, mais aussi lieu de vie, la Fabuloserie attire chaque année près de 15 000 visiteurs. Le musée d’art brut fondé par Alain Bourbonnais à Dicy (Yonne) pourrait bientôt être vendu. Le président de la communauté de communes de Puisaye-Forterre tire la sonnette d’alarme et appelle à un partenariat public-privé La Fabuloserie, lieu singulier d’art brut et d’art hors-les-normes niché à Dicy (Yonne), pourrait bien vivre ses dernières années sous sa forme actuelle. Sophie et Agnès Bourbonnais, les filles du fondateur du musée, veulent passer le flambeau. Mais la succession se fera en dehors de la sphère familiale, les enfants ne souhaitant pas en reprendre la gestion. Le vendredi 20 juin 2025, à l’initiative de Jean-Philippe Saulnier-Arrighi, président de la Communauté de Communes de Puisaye-Forterre, une réunion s’est tenue avec les deux filles du fondateur, Sophie et Agnès Bourbonnais, ainsi que leurs conjoints. Objectif : anticiper la succession et éviter que les 8 000 œuvres qui composent la collection ne soient dispersées. Selon Agnès Bourbonnais, le musée de Lausanne aurait déjà fait part de son intérêt pour reprendre une partie des oeuvres, dont le fameux manège de Petit Pierre, réalisé par l’artiste autodidacte Pierre Azevard (1909-1992). Mais malgré ces premiers contacts avec le musée suisse, les sœurs souhaitent se laisser du temps Selon Jean-Philippe Saulnier-Arrighi, la Communauté de Communes de Puisaye-Forterre ne pourra pas acquérir seule les lieux. Le foncier est estimé à 500 000 euros,...
Le Musée des Templiers Hughes de Payns retrace la vie d’Hugues de Payns et l’épopée des templiers. Il présente aussi de nombreux vestiges archéologiques découverts sur le site, dont un trésor monétaire trouvé en 1998. Hugues de Payns a voulu faire reconnaître l’ordre par la Sainte Église Catholique. Payns est champenois et a beaucoup de soutien avec Bernard de Clairvaux, l’abbé de l’abbaye de Cluny. Donc, le concile de Troyes établit la règle de l’ordre des Templiers, une règle stricte, très austère. Dans la cathédrale Saint-Pierre-Saint-Paul de Troyes. Le Concile débute le 13 janvier 1129 et donne naissance à l’Ordre du Temple, l’ordre a été fondé en 1120 mais la règle, inspirée par Bernard de Clairvaux, est approuvée lors de la cérémonie à Troyes. Cette milice se baptise les Pauvres chevaliers du Christ Le chef de cette milice s’appelle Hugues de Payns, seigneur du village du même nom situé à quelques kilomètres de Troyes. Il s’est Installé pendant quelques années en Terre sainte, et forme une compagnie de chevaliers avec mission de protéger les pèlerins. Alors il devient naturellement le premier grand maître. Naturellement, la première commanderie templière d’Occident voit le jour à Payns, dans son fief. Les premiers disciples de Hugues de Payns prêtent serment au Patriarche de Jérusalem Garimond, et font entre ses mains le triple voeu de chasteté, de pauvreté et d’obéissance et vivent selon la règle des chanoines réguliers. La cathédrale du concile de Troyes a été détruite le 23 juillet 1188 par un violent incendie soit une soixantaine d’années après la réunion conciliaire. Il ne reste rien de cet édifice roman dont les derniers vestiges ont été progressivement détruits lors de l’édification de la cathédrale gothique, à partir du XIIIe siècle. Il y adu beau monde dans la cathédrale, des abbés venus de toutes les abbayes, des évêques, des seigneurs locaux,...
Alignement de pierres de la région de Carnac est l’un des plus anciens sites mégalithiques d’Europe. Des recherches récentes ont révélé que les énigmatiques alignements de pierres de la région de Carnac, en France, composés de plus de 3 000 menhirs s’étendant sur 10 kilomètres de paysage côtier, datent d’entre 4600 et 4300 avant notre ère, ce qui en fait parmi les premiers monuments mégalithiques d’Europe et confirme la baie de Morbihan comme la première région mégalithique d’Europe. Les alignements mégalithiques de Carnac La datation précise des alignements mégalithiques de Carnac entre 4600 et 4300 av. J.-C. a été rendue possible grâce à des techniques archéologiques innovantes qui ont permis de surmonter les limitations antérieures. Les chercheurs ont recueilli près de 50 échantillons de radiocarbone à Le Plasker et ont appliqué une modélisation statistique bayésienne pour les analyser avec une précision chronologique sans précédent.12 Cette avancée méthodologique est particulièrement significative car les sols acides du Morbihan empêchent généralement la préservation des matières organiques, en particulier les os, ce qui avait auparavant limité les possibilités de datation dans la région.2 Bien que de nombreuses pierres d’origine aient été enlevées soit à la préhistoire, soit à des époques historiques, leurs fosses de fondation sont restées intactes, fournissant un matériel de datation crucial.2 L’équipe de fouille a analysé les sédiments et fragments de pierre provenant de ces fosses, ainsi que des échantillons de charbon issus de foyers et d’aménagements culinaires adjacents qui semblaient contemporains des alignements de pierres.13 Cette approche globale a non seulement permis d’établir que les alignements de Carnac sont les plus anciens monuments mégalithiques d’Europe, mais elle a également révélé leur association avec des éléments liés au feu, suggérant d’éventuelles activités rituelles impliquant l’éclairage, la cuisson ou des festins lors de leur construction.2 https://letourismerevisite.fr/go/507296https://letourismerevisite.fr/go/080744https://letourismerevisite.fr/go/7b1814https://letourismerevisite.fr/go/907970https://letourismerevisite.fr/go/ige387https://letourismerevisite.fr/go/7hg436https://letourismerevisite.fr/go/h77941 La France lance un concours d’architecture pour agrandir le Louvre...
L’oculus, une ouverture circulaire située au centre d’un dôme ou d’un mur et issue de l’architecture classique, est devenu un élément de design puissant dans les espaces contemporains.1 Les interprétations modernes vont des puits de lumière traditionnels à des installations sophistiquées de LED qui imitent la lumière naturelle du jour. Le puits de lumière circulaire à LED « Oculus » de Light Cognitive, par exemple, utilise des algorithmes d’apprentissage automatique pour reproduire la couleur et l’intensité réelles du ciel de Barcelone tout au long de la journée, créant des transitions progressives des rouges vifs de l’aube au bleu du midi et aux teintes chaudes du crépuscule.2 Cette technologie offre non seulement une valeur esthétique, mais soutient aussi les rythmes circadiens humains en émettant une lumière bleue stimulante pendant la journée avant de la réduire progressivement le soir. Les architectes intègrent souvent des oculi pour transformer des espaces autrement banals grâce à un éclairage naturel spectaculaire. Dans des projets comme le lycée de Morières-lès-Avignon, des oculi placés rythmiquement transforment des couloirs exigus en environnements aérés, tandis que le Skyspace de James Turrell utilise un oculus pour créer une relation poétique entre la lumière et l’espace.1 Au-delà des formes circulaires, certains concepteurs optent pour des formes irrégulières afin de créer des motifs lumineux plus complexes, garantissant que les visiteurs expérimentent une illumination différente à chaque entrée dans l’espace.3 Qu’ils servent de solutions d’éclairage durable pour des pièces sans fenêtres ou de caractéristiques esthétiques centrales, les oculi continuent d’agir comme les « yeux » des bâtiments, reliant les espaces intérieurs au monde naturel qui les surplombe.1 https://letourismerevisite.fr/go/5bg614https://letourismerevisite.fr/go/80a612https://letourismerevisite.fr/go/995309 L’affaire Glozel Adapter le tourisme aux températures caniculaires Top 5 des campings à Argelès‑sur‑Mer Aventure en mer : l’art de capturer un thon dans les eaux méditerranéennes Voyager à travers l’Europe en van : liberté et confort ! Click to rate...
La pêche au thon en Méditerranée représente un art ancestral mêlant technique, patience et respect de la mer. Cette pratique exigeante nécessite une connaissance approfondie des comportements de ce puissant poisson pélagique ainsi que des conditions marines spécifiques à cette région. Des côtes espagnoles aux rivages grecs, les pêcheurs méditerranéens perpétuent des méthodes traditionnelles tout en adoptant des approches modernes plus durables. Thon méditerranéen : secrets et diversité des espèces L’aventure de la pêche au thon en Méditerranée est une expérience exaltante. Les eaux cristallines offrent un cadre parfait pour ceux qui cherchent à maîtriser l’art de capturer ces géants des mers. Pour réussir, il est crucial de bien choisir son équipement et d’adopter les bonnes techniques. Découvrez comment pêcher un thon en méditerranée avec des conseils avisés sur le matériel à utiliser et les méthodes éprouvées par des experts comme Cyril Gressot. Le thon rouge de Méditerranée, Thunnus thynnus, figure parmi les espèces les plus prisées et puissantes de cette mer. Ces prédateurs peuvent atteindre plus de 400 kg et développer une vitesse impressionnante de 70 km/h en pleine chasse. Dynamiques des routes migratoires animales Les thons parcourent des routes migratoires bien définies en Méditerranée. Au printemps, ils passent par le détroit de Gibraltar pour atteindre leurs zones de reproduction. Ces poissons impressionnants sont guidés par des facteurs environnementaux. La température de l’eau joue un rôle majeur dans leurs déplacements, tout comme la disponibilité des petits poissons dont ils raffolent. Leur migration est une merveilleuse danse orchestrée par la nature, marquée par la recherche de conditions idéales pour assurer leur survie et celle de leur progéniture. Identifier les signes : guide essentiel Pour débusquer un banc de thons, il faut avoir l’œil attentif et savoir où regarder. Les oiseaux marins qui tournoient au-dessus de l’eau sont souvent les premiers messagers d’une activité sous-marine intense. Un pêcheur...
Sillonner les routes d’Europe à bord de son van, c’est plus qu’un simple voyage : c’est une aventure, une façon de vivre. Pas d’horaires à respecter, pas de réservation à confirmer, juste vous, la route, et des paysages qui défilent au gré de vos envies. Mais pour que cette expérience reste un plaisir sur le long terme, il y a un point à ne surtout pas négliger : le confort. Des paysages variés et un confort constant Que vous rêviez des fjords norvégiens, des plages du Portugal, des villages italiens perchés ou des montagnes autrichiennes, l’Europe regorge de spots incroyables. Et avec un van, vous êtes aux premières loges. Mais voyager autant, c’est aussi multiplier les heures de conduite, les changements de températures, et parfois l’humidité. Tout ça met votre corps à rude épreuve. C’est là que l’aménagement du van prend toute son importance. Une bonne isolation, un coin cuisine fonctionnel… et surtout un lit agréable, où vous pourrez vous détendre vraiment. Même dans 4 ou 5 m², on peut créer un cocon. Certains aménagent leur lit sur des palettes, d’autres investissent dans des sommiers sur-mesure. L’essentiel, c’est de se sentir bien, peu importe où vous vous réveillez. Parmi les essentiels, un bon matelas fait toute la différence. Quand on dort dans un petit espace, parfois au milieu de nulle part, on a besoin d’un sommeil vraiment réparateur. Si vous préparez votre van ou que vous pensez à l’aménager vous-même, prenez le temps de bien choisir son matelas. On sous-estime trop souvent son impact, jusqu’à ce que les premières douleurs de dos se fassent sentir après quelques nuits à dormir sur une mousse trop fine. Voyager sans contrainte, mais pas sans préparation La liberté du voyage en van s’accompagne d’une certaine autonomie. Prévoir les points d’eau, anticiper les recharges électriques, et penser à votre confort au quotidien sont...
À moins de 40 kilomètres au nord de Nantes, la forêt domaniale du Gâvre vous tend les bras. Avec ses 4 460 hectares de paysages variés, de sentiers sinueux et de chênes majestueux, elle est la plus grande forêt publique de Loire-Atlantique. Ancien domaine de chasse des ducs de Bretagne, ce massif forestier millénaire est aujourd’hui un espace naturel protégé, géré avec soin par l’Office National des Forêts. Que vous soyez randonneur du dimanche ou marcheur chevronné, cette forêt vous offre une véritable parenthèse au cœur d’un patrimoine forestier d’exception. Une forêt domaniale vivante et accueillante La forêt du Gâvre n’est pas seulement grande : elle est vivante, diverse, et pleine d’histoires à raconter. Située sur le territoire de la commune du Gâvre, elle s’étend jusqu’aux abords de Blain, dans le nord du département. Sa gestion est assurée par l’ONF, qui y mène une politique de préservation de la biodiversité et de renouvellement des peuplements forestiers, tout en garantissant l’accueil du public. On y trouve une belle variété d’espèces forestières, du chêne sessile au pin sylvestre, en passant par le hêtre ou le bouleau. Certains arbres ont plusieurs siècles. Le Chêne de la Messe, emblématique du lieu, aurait ainsi vu passer des générations de forestiers, de promeneurs et de naturalistes. Cet arbre remarquable incarne à lui seul la richesse et la longévité de ce territoire boisé. En toute saison, la forêt offre des ambiances très différentes : verte et lumineuse au printemps, fraîche et ombragée en été, dorée et mystérieuse en automne. Son sol, parfois sablonneux, parfois argileux, est le témoin d’une géologie contrastée, héritée de millions d’années de transformations naturelles. Balades et découvertes à travers un massif forestier unique Les sentiers sont nombreux et bien entretenus. Parmi les plus connus, le circuit de l’Arboretum permet d’approcher différentes essences d’arbres venues d’Europe, d’Amérique ou...
Les 5 meilleurs pays où faire du Wwoofing en Europe ! Envie de vivre une aventure authentique et écoresponsable en Europe ? Le WWOOFing, une expérience unique où travail et découverte se mêlent, est l’opportunité parfaite pour ceux qui souhaitent s’immerger dans la nature, apprendre des pratiques agricoles durables, et échanger avec des hôtes passionnés. Que vous soyez attiré par les montagnes norvégiennes ou les oliveraies grecques, l’Europe offre des destinations idéales pour le WWOOFing. Découvrez sans plus attendre les 5 meilleurs pays où vivre cette expérience enrichissante ! Norvège : Nature brute et authenticité scandinave La Norvège occupe sans conteste la première place de notre classement des meilleurs pays pour faire du WWOOFing. Ce pays scandinave, réputé pour ses paysages à couper le souffle, offre une immersion totale dans la nature. Entre les fjords majestueux, les montagnes enneigées et les forêts profondes, les fermes bio norvégiennes sont souvent nichées au cœur de décors sauvages et isolés, offrant une expérience de travail hors du commun. Vous aurez l’opportunité de découvrir des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, souvent axées sur la permaculture et l’agriculture durable. L’accueil des hôtes, chaleureux et respectueux de l’environnement, ajoute une dimension humaine à cette aventure unique. Parfait pour ceux en quête de tranquillité et de simplicité, le WWOOFing en Norvège vous permet de vous reconnecter à la nature tout en apprenant des savoir-faire agricoles authentiques. Pour profiter pleinement de l’expérience, il est conseillé de partir au printemps ou en été, lorsque les journées sont longues et que la nature est en pleine effervescence. Pour plus d’infos, découvrez un guide complet sur le wwoofing en Norvège. Italie : La dolce vita version bio L’Italie, avec ses paysages pittoresques et son riche patrimoine agricole, est un autre incontournable pour les passionnés de WWOOFing. De la Toscane verdoyante aux collines de Sicile, en passant par...
Le méridien de Greenwich à Villers sur Mer passe à travers l’Observatoire royal à Greenwich au Royaume-Uni et entre en Europe continentale à Villers sur mer dans le calvados
